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Schnell ritter[En cours]

Fei Reece
Fei Reece
Masculin
Localisation : Poitiers/Martinique
Aime :

Datasoul
[Rang] :
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{Évolution} :
Couleur de Reiatsu :
Schnell ritter[En cours] Jeu 2 Juil - 18:18

Fei Reece
citation



Fei Reece
Humaine-Quincy
20 ans
Gémeaux
Gemischt- Leitcher Ritter
Réponse
Fei est un polyglotte. Il ne maîtrise pas moins de 4 langues (Anglais, Allemand, Espagnol, Japonais et Latin).


Psychologie
citation




Comme l’Océan, le dénommé Fei Reece est un être profond et insaisissable. Il affiche toujours un air impassible et surtout très sérieux. Il ne révèle jamais inutilement ses émotions, même quand un événement inattendu se produit (comme lorsqu’il a été confronté, pour la première fois, à la déflagration d’un Cero ou celle ou un hollow a réussi à repousser l’une de ses flèches). Malgré ce comportement froid, il s’avère que le jeune homme fait preuve d’une curiosité sans limite pour les choses qui peuplent cette réalité. Les levers du soleil, la pousse des plantes, l’histoire de l’humanité et l’évolution technologique dont ses pairs peuvent faire preuve. Tant d’inventions et de procédés qu’il ne peut qu’apprécier et décortiquer pour se les approprier. Véritable adepte de l’adage, "rien se perd, tout se transforme", il prétend, à qui veut bien l’entendre, que les traditions se doivent être au service du Progrès. En adéquation avec sa philosophie, son heiling bogen a pris la forme d’une arbalète de poing semi-automatique (une arme de pointe pour les chasseurs professionnels) au lieu de l’antique arc, fort apprécié par ses ancêtres. Son maître prône également une forme moderne du Quincy, ayant accepté avec joie que certains de ses disciples, tout comme notre protagoniste, puissent former des fusils, pistolets et autres armes créés lors de ces deux derniers siècles.

Fei n’est donc pas comme l’une de ces brutes sans cervelles qui servent de "poules" à ses tirs. Son esprit le pousse à assouvir sa curiosité, parfois même malgré lui. Par conséquent, le quincy est très analytique, reconnaissant des capacités chez ses interlocuteurs, imperceptibles pour le commun des mortels. Leurs défauts, leurs parts blanches comme sombres... Un brin manipulateur, il se traduit également par une ruse certaine. Stratège, il ne prend aucune décision à la légère et se donne les moyens de réaliser ses objectifs et de surpasser la moindre forme qui vient menacer ses plans.

À cause de cette stratégie froide, il traîne une infime et malsaine réputation. Il serait décrit, par les rares cibles qui ont échappé à son regard aquilin, comme un individu implacable. Une personne impitoyable, qui n’hésite point à noyer ses ennemis sous un déluge de carreaux sacrés, sans la moindre once de pitié. Il est même dit qu’il cultive une haine viscérale pour les creux. Pure baliverne, démontrant l’ignorance globale des personnes à son égard, même ses proches. Le survivant ne possède aucune haine en son cœur, que ce soit pour les hollow ou les shinigami. En réalité, c’est de cette façon que s’exprime sa compassion. L’homme ne jure que par le respect. Il offre toujours une chance à ceux qui souhaitent le défier, et n’achève ces derniers que de manière propre et efficace pour abréger leurs souffrances au lieu de les torturer. Ils demeurent tous, à l’origine, des êtres humains. Une mort honorable n’est que la moindre des choses. Il n’est point rare qu’il se recueille sur les restes de ses victimes, afin d’honorer leur mémoire. Contrairement à ce que peuvent imaginer les fausses instances mortuaires qui cherchent par tous les moyens à les entraver, le jeune homme et ses pairs les plus proches cherchent avant tout à faire fuir les monstres masqués au lieu de les éliminer purement et simplement. Toutefois, il n’y a pas que bienveillante dans élaboration de cette politique... Un nombre important de meurtres attireraient la surveillance sur leur petit groupe, ce qui, selon les dires du métis, serait "très mauvais pour le business". Et Dieu sait que le jeune homme n’aime point renoncer, ayant le mot abandon en horreur.

Abandonner est un mot pour les faibles.

Le métis peut également se montrer extrêmement nonchalant, ennuyé par la majorité des considérations humaines. Il ne croit pas comme, tous ses compères illuminés du purgatoire, en un idéal de justice. Pourvu d’une légère arrogance et un brin avare, cet homme ne reculerait devant rien pour s’emparer d’une chose qui lui fait envie, même à la dérober à son propriétaire. En effet, il n’est pas rare que Fei détruise des planques de la pègre locale japonaise pour s’emparer de leurs richesses et de leurs archives. "Le savoir, c’est le pouvoir", et ce n’est pas lui qui contredira l’auteur de cette citation. Il ne se contente point d’analyser simplement les capacités des autres, mais également de les "synthétiser" pour son propre profit. Un exemple marquant, serait l’envie viscérale du "Leitcher ritter" de reproduire et d’adapter le Cero des gilians au répertoire des quincies.

Malgré ce défaut malsain, il est extrêmement loyal envers ses proches, partageant le fruit de ses "travaux" avec eux sans la moindre arrière-pensée. Il défend l’honneur de son mentor en toutes situations, affirmant sa reconnaissance de l’avoir recueilli dans leur organisation alors qu’il plongeait dans une solitude aussi morbide que désespérante. Ils furent son salut, et il ne peut qu’éponger sa dette par une loyauté et une amitié sans failles. Mais tout le monde ne mérite pas ses faveurs. Son petit cercle d’amis, hors de sa "famille", est restreint et les places sont chères, ayant du mal à accorder facilement sa confiance. Toutefois, il demeure un solitaire dans l’âme. Il tient à préserver son jardin secret et peut, parfois, se montrer fuyant envers ses amis et se mentir à lui-même, mettant ses échecs sur le compte d’une certaine malchance. Une mauvaise foi qui démontre que les quincies demeurent des humains.

La lumière angélique ne serait vivre sans l’ombre humaine.

Concernant le monde spirituel, le natif du signe des gémeaux a tendance à voir le verre à moitié vide. Son mentor lui a conté les légendes sur la famille Mitarbeiter et leur alliance avec l’autorité militaire de la société spirituelle. Si d’autres clans de la croix ont décidé de suivre leur exemple, ce n’est aucunement le cas de celui du faucon. Vous l’aurez deviné, il n’a pas encore été approché par les shinigami, mais il est fort en parier que sa réponse sera un refus catégorique. Les shinigami ne comprendraient point leurs intentions, voir y verraient une menace, envers la Recherche militaire. Cependant, il n’a, comme cité précédemment, aucune animosité ni grief pour les faucheurs, mais il ne se laissera pas brider par leur politique de soumission et de pré-esclavage. Il se dit prêt à leur prêter main forte dans le but de sauver quelques âmes innocentes. Une aide qui, n’a pour but, que d’éloigner l’œil inquisiteur des petites opérations qu’il mène en douce pour s’approprier les talents des autres races.


Physique
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Le peintre divin avait déversé de la poussière d’étoiles sur la chevelure de cet enfant, d’ors et déjà marqué par les affres du destin. Le gris semblait être la teinte indiquée pour un être dont la naissance demeurait perdue entre la providence et l’erreur. Ce clair-obscur qui, dans l’excitation d’un énième contrat, s’abattait et se dressait silencieusement, tel les ailes d’une magnifique chouette. Le créateur angélique avait sûrement voulu lui octroyé un certain magnétisme sauvage, élément que le fin critique physionomiste remarquerait au premier regard. En adéquation avec cette particularité capillaire, l’émeraude de ses iris vient apporter une profondeur à cette aura animale. Ce regard dans lequel semble se refléter une intense colère, une pointe de tristesse. Deux marées forestières condensés, en quelques coups de pinceau circulaires, qui conféraient une intense dernière vision aux êtres marqués d’une croix coupable : un rapace, braquant ses précieuses pupilles, sur sa proie tandis que ses serres ferreuses s’abattent sans la moindre retenue.

Sa peau fine laisserait croire que notre jeune quincy posséderait des origines romaines. Une peau hâlée, une texture fine... Pour autant, ce n’était qu’une tromperie espiègle de l’imaginaire de son fondateur. Cette peau, naviguant entre la neige et le sable, n’était qu’une conséquence de son métissage, mais les autres n’y verraient que le rappel inconscient d’une particularité, ô, si représentative des généraux de l’Ancien testament. Cependant, cet homme demeure humain et exempt de toutes fantaisies. Sa formation juvénile a laissé des traces indélébiles sur son corps. Blessures de guerres ou corrections musclées, si vous demande au principal intéressé, il ne daignera répondre évasivement que ses cicatrices furent une nécessité pour atteindre le potentiel qu’il possède actuellement.

Sur le champ de bataille, il laisse une légère grâce accompagné tendrement ses mouvements. Tel un athlète, le jeune fait preuve d’une agilité sans pareille dans son intime communion avec le reishi. Et pour dire, son instructeur a sculpté son corps, dans la sueur et le sang, pour obtenir cette musculature discrète, que le jeune homme aime a oblitérer sous quelques vêtements. Le critique reconnaîtra le chasseur Orion, proposé dans une version revisitée et moderne.

En hommage à la mémoire des ancêtres inconnus, il a été marqué une seconde fois. Point de cicatrices cette fois, mais de l’encre fine et sombre qui a investi les pores de sa peau dorsale pour former une Ânkh. Symbole de la vie...qui se reflétait également sur une chevalière dont il tire son heiling bogen. En effet, le jeune homme est un adorateur des bijoux. Excepté sa bague, il possède également des boucles d’oreilles en argent et des bracelets en cuir.

Que dire de son style vestimentaire ? Fei s’habille comme tout un chacun.  Il peut être vêtu d’une tenue décontractée comme d’un costard assorti d’une chemise bordeaux. Cependant, Fei ne porte pas de la tenue traditionnelle des quincies. Tunique immaculée qui, d’après les dires de son mentor, aurait été portée par les plus valeureux membres de leurs clans. Cependant, elle n’était plus, aujourd'hui, que l'uniforme de servitude utilisé par ceux qui ont rejoint les hommes en noir. Il lui préfère donc d’autres habits modernes, preuve de son évolution au sein de la société du 21ème siècle.


Histoire
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Une jeune femme gisait à même le sol, baignant dans une flaque de sang qui s’écoulait d’une plaie béante. Le souffle court, elle tentai vainement de se rattacher à la moindre étincelle vitale qui parcourait encore ses veines. Ses doigts bougeaient fébrilement, grattant le sol dans un espoir illusoire de pouvoir échapper à son sort. Des sanglots emplissaient le ciel d’une poignante et mémorable complainte, couplés au rugissement sadique du responsable. La bête se tenait au-dessus de sa cible, un rictus étirant ses babines gercées et putrides. Le monstre portait, dans sa chair, la racine du mal et de la corruption. Cette même griffe qui, quelques secondes plus tôt, s’insinuait encore dans l’abdomen de sa victime. Son maître en était ravi, l’arme ayant admirablement bien rempli son office : rendre vulnérable sa proie. Elle avait osé l’exciter de sa grandiloquente énergie spirituelle. Désormais, elle payait une partie du prix. En effet, la créature ne comptait pas en finir ainsi avec une si belle créature. Il voulait donner un but à son mort. Sa damnation n’en serait que plus grandiose. Les cris de peur et de douleur de sa proie ne lui apportant que plus de jubilation avant de littéralement dévorer son âme. La jeune femme se débattait sous la poigne de son agresseur, son regard ne pouvant se détacher des deux pupilles dilatés par un plaisir malsain de causer sa perte. Ce même regard qui se tâchait de points noirs, mais qui conservait une certaine lueur synonyme de la détermination de la jeune femme. Mais, elle, qui avait réagi sans une once d’hésitation, ne pouvait se défendre contre l’une des choses qui échappaient à sa compréhension : le bannissement du cycle de réincarnation des âmes. Elle ne pouvait qu’assister, impuissante, au désastre. Les dents de l'entité était déjà sur son cou, prêt à commettre l’irréparable.

Toutefois, en un instant, l’expression terrifiante du masque se transforma en stupeur. La citadine, interloquée, se figea en apercevant la forme similaire à une flèche de laquelle giclait du sang. Le liquide vint arroser les habits de la rescapée, les teintant d’un noir brillant. Elle ne se souciait même plus de sa blessure, l’adrénaline prenant le relais. Elle assistait à un improbable scénario. Le masque de son agresseur avait été transpercé par une flèche fantomatique qui disparaissait progressivement comme par "magie". Le cadavre n’étant plus retenu par la volonté, la gravité reprenait ses droits. Mais l’auteur du crime ne comptait pas laisser la force universelle se jouer de lui. D’une main ferme, il retint la nuque de la bestiole avant qu’une seconde flèche ne se loge dans la peau écailleuse encore chaude. Sans un regard pour elle, son sauveur continua son entreprise. Un justicier, pensa la femme... La japonaise n’en avait jamais vu dans sa courte vie, mais elle n’admettait cette idée que dans les mangas de son peuple ou les comics délivrés par les sociétés étasuniennes. Il finit par se délaisser de la créature et ses yeux olive se posèrent enfin sur son état. Son agresseur commençait, progressivement à se désagréger en cendres tandis que le "magicien" vint poser une main prudente sur sa blessure, compressant la plaie avec brusquerie. Cependant, l’adrénaline perdait de son effet, affaiblissant la nippone seconde après seconde. Elle se savait condamnée, Thanatos réclamant son tribut. Son cerveau déconnecté entreprit donc d’écouter les propos distincts du quincy comme si elles étaient les dernières qu’elle entendrait dans cette vie :

« Mademoiselle, je crains que cette blessure soit très profonde. Elle aurait dû vous être fatale, mais votre présence spirituelle est très élevée pour des standards humains. Mais l’acide contenu dans cette griffe devrait bientôt extirper la moindre parcelle de vie encore présente en vous. Chut, chut, conservez vos forces et dormez. Vous vous réveillerez en une tout autre entité. Je m’excuse d’avance de vous laisser ainsi, mais je ne puis me trouver sur une scène de crime. J’espère que les regrets ne s’empareront pas de votre âme, et que vous survivrez dans cette caricature du passé dans laquelle vous enverra un shinigami. Que dire de plus, bienvenue dans un monde qui se trouve au-delà du commun des mortels. Sayonara, milady»

Elle ne ressentit même pas la chaleur du quincy la quitter. Elle était perdue dans une transe, un intense moment de calme absolu. Elle ne pouvait ni bouger, ni se mouvoir dans la réalité. Toutefois, ce calme ne dura point et la douleur traversa de nouveau chaque pore de sa peau, alors que sa vision se voilait dans une injustice intolérable. Dans la plus pure des solitudes, délaissée par la main qui a dissipé ses ténèbres.

Fei disparaissait rapidement dans les ruelles du quartier où il venait de commettre un énième meurtre spectral. Il n’avait aucune envie de subir l’interrogatoire de la "super police fantôme" sur son action immodéré qui fragilisait la balance sacrée, objet illusoire qui représentait l’équilibre entre les dimensions. Parfois, il se demandait quand sa vie était devenue ainsi et la nostalgie s’emparait de lui. Des souvenirs remontaient à la surface, et il fit l’objet d’une profonde nostalgie…

Flashback.

D’aussi loin qu’il puisse mettre un mot sur des événements, le jeune homme avait 5 ans. Pour autant, cette histoire débute bien un 10 juin 2000. Un instant banal qui se reproduisait, éternellement, depuis des siècles et des siècles. Ainsi, comme pour tout le monde, il lui fallu un père et une mère. Des parents qui se rencontrèrent aléatoirement.

[En cours...]




Derrière l'écran
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Black Asta
22 ans
Oui
Par le staff (Jinshiro)
Texte.


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